Le bug de l'an 2000 ou la déconnexion généralisée

#nouvelleeredutravail , #bien dans ses bottes bien dans son job


"Plus nous avons été reliés technologiquement, plus nous avons été séparés les uns les autres"


Le bug de l'an 2000 a en réalité eu lieu, d'une autre manière que celle qui était attendue : les humains se sont déconnectés de leur pair dans le monde du travail.

 

Datation de l'évènement

A quel moment cela a-t-il eu lieu?


Dans les années 2000 sûrement. Notre connexion aux autres IRL (dans la vraie vie) a été fonction inverse de notre connexion technologique.

Plus nous avons été reliés technologiquement, plus nous avons été séparés les uns les autres.

Nous en sommes devenus des êtres en décalage les uns des autres.



"Montrons, chacun à notre niveau, qu'il est possible de casser les codes, de changer la donne et de "casser la baraque" sans se casser les uns les autres"



Un changement de paradigme

A quel moment avons-nous arrêté d'être une équipe?

De se préoccuper les uns des autres?

De prendre soin, de demander des nouvelles, d'agir gratuitement?

Juste comme ça, sans arrière-pensée d'efficacité et sans but chronométré.

 

Je ne dis pas que les entreprises sont des ONG (punchline ô combien utilisée dans le milieu branché des start-ups).


Devons-nous cependant prendre le chemin inverse?

 

Est-ce-que l'on perd son temps à être agréable?

 

On passe du temps, on ne le perd pas

Je ne crois pas à la perte de temps, je pense que l'on passe du temps. Qu'on le consacre à quelque chose.

 

Le temps ne peut pas être à 100% productif (bien que la glamourisation de l'être affairé a bien opéré dans l'inconscient collectif).

 

J'ose, tu oses, il ose, nous osons

Oserons-nous changer de direction et arrêter cette vision manichéenne?

"C'est comme ça si on veut réussir, les gentils se font bouffer".

Osons.

Ensemble, montrons, chacun à notre niveau, qu'il est possible de casser les codes, de changer la donne et de "casser la baraque" sans se casser les uns les autres.

 

Connectons-nous les uns aux autres, ce sont les petits gestes et attentions qui font la différence dans le quotidien.

Osons un sourire, un sincère "Comment vas-tu? J'ai l'impression que tu as l'air préoccupé. Souhaites-tu en parler?".

 

Sentons nous en lien les uns avec les autres et changeons de paradigme - il est temps.

 

Sur ces mots, à bientôt.

Pauline